Pendant un mois, les écoles Pigier Lyon et WIN Sport lyon ont communiqué sur notre dispositif d’affichage grand format du Monoprix Lyon Cordeliers. Chloé MILAZZO, chargée de communication, nous en dit plus, sur son métier et sur le choix de ce covering publicitaire.

Les écoles Pigier Lyon et WIN Sport Lyon

Implantée dans le quartier de La Part Dieu depuis 1996, l’école Pigier Lyon propose des formations en initial et en alternance. De BAC à BAC+5, les étudiants ont le choix de 9 expertises métiers leur permettant d’obtenir un diplôme d’Etat :

  • Achat & Logistique
  • Administration des entreprises
  • Affaires internationales
  • Gestion & Finance
  • Management & Commerce
  • Management du Sport
  • Marketing & Communication
  • Ressources Humaines
  • Secrétariat médical

Les formations du Bachelor et MBA Management du Sport sont proposés par l’école WIN Sport Lyon, au sein des locaux de Pigier Lyon.

Retour de Chloé MILAZZO sur son expérience métier

Le métier de communicant

Pouvez-vous nous décrire votre parcours professionnel ?

J’ai fait un BTS Communication en initial pendant 2 ans. J’ai ensuite poursuivi avec une licence professionnelle à l’IAE de Lyon en communication multimédia. Lorsque j’ai terminé mes études, je suis partie un an à l’étranger puis j’ai commencé à travailler pendant 1 an dans un autre Macalester. Je suis ensuite arrivée à Lyon et cela fait 2 ans en août que je suis chargée de communication pour l’école Pigier Lyon. Je ne m’étais jamais dit « il faut que je travaille dans une école » pas du tout. En fait c’était vraiment la variété du métier qui a fait que je me suis lancée. Je suis toute seule au poste et du coup je touche vraiment à tous les métiers de la communication.

Quelles sont pour vous les principales qualités d’un bon chargé de communication ?

Je dirais la polyvalence, la créativité et la gestion de l’express.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans ce métier ?

Sur mon poste à l’école Pigier, c’est vraiment la polyvalence des missions. Il y a une journée où je vais être en train d’organiser un événement, une autre où je vais créer une affiche 4 par 3 pour la ville… Chaque journée est différente. Ce qui me permet de vraiment toucher à tout et de mettre en application tout ce que je sais. C’est hyper varié et c’est vraiment ça qui me plait dans ce métier-là. Je fais vraiment tout, affichage, réseaux sociaux, événementiel…

Plutôt papier ou numérique pour vous informer sur vos concurrents ou sur de nouveaux supports de communication ?

Plutôt numérique

La communication pour les écoles

Quels supports privilégiez-vous dans vos plans médias ?

On essaie vraiment de tous les balayer parce que notre cible sont des étudiants, des jeunes mais on a aussi les parents qui peuvent être prescripteurs. On fait de l’affichage, du digital, de l’événementiel… Un peu moins de radio parce que c’est très compliqué pour nous à quantifier mais on essaie de balayer tout ce qu’il peut y avoir.

Comment sont répartis vos budgets médias ?

La majeur partie de notre budget part dans les salons. On fait aussi énormément d’affichage sur l’année, représentant environ 20% de notre budget.

Est-ce compliqué de se démarquer de la concurrence ?

Oui, il y a énormément d’écoles concurrentes sur Lyon. C’est pour cela que l’on essaie vraiment de se positionner un peu de partout. Nous travaillons énormément sur la notoriété. Pigier Lyon est quand même une école connue mais nous essayons de rester ancrer dans la tête des gens afin que lorsque leurs enfants doivent trouver une école ils pensent à nous.

Comment évaluez-vous les performances de vos campagnes publicitaires ?

Nous demandons à chaque étudiant qui commence ses démarches de pré-inscription sur son dossier de candidature, comment il nous a connus. C’est ce qui nous permet d’évaluer ce qui est difficilement quantifiable, comme l’affichage par exemple. Nous faisons aussi remplir des questionnaires à nos étudiants. Nous leur demandons ce qu’ils ont vu durant l’année sur Pigier, ce qui les ont marqués etc.

L’affichage grand format du Monoprix Lyon Cordeliers

Quel est votre principal critère de sélection d’un support publicitaire ou d’une régie publicitaire ?

Nous regardons beaucoup la réactivité car nous travaillons toujours dans l’urgence. C’est très important pour nous parce si l’on se dit que demain on a envie de faire « ça », il faut que la personne qui est derrière puisse nous dire « ok on vous suit, je le fais avec vous, nous sommes réactifs ». Donc surtout la réactivité puis après la créativité du média en lui-même. Nous essayons de changer, de varier les supports pour que l’on puisse nous voir à différents endroits et que ce ne soit pas toujours la même chose.

Pourquoi avez-vous choisi de communiquer sur le Monoprix Lyon Cordeliers ?

Je crée tous les ans mon plan de communication pour l’année suivante. J’essaye de rencontrer un maximum de prestataires pour connaître les nouveautés, voir tout ce qui peut émerger pendant l’année et que l’on pourrait mettre en place sur l’année suivante. J’ai donc rencontré l’équipe du Groupe Com’unique il y a 1 an et demi. En rediscutant avec mon directeur, on s’est dit que l’on pourrait communiquer sur l’adhésif du Monoprix pour booster les dernières inscriptions.

C’est un visuel que l’on voit tout le temps lorsque l’on est en ville et on s’est dit « un jour, il faut que l’on y soit aussi ! ».

« Une visibilité vraiment absolue »

On a du passage en voiture, à pied, en sortie du parking. Pour nous c’est vraiment une énorme visibilité. On peut toucher les prescripteurs, les parents avec leurs véhicules et il y a aussi tous les jeunes qui font les magasins et qui se baladent. C’est une rue qui est hyper passante et où on touche notre cible.

De la demande jusqu’à la pose ça a été très rapide. Il y a eu de la réactivité de tous les côtés et en plus le rendu est top ! C’est une belle surface, à hauteur d’homme.

Nous sommes vraiment satisfaits de la mise en place de l’adhésif.

Ce dispositif d’affichage grand format sur le Monoprix Cordeliers vous intéresse ?