L’IRI a fait appel au Groupe Com’Unique pour la réalisation de plusieurs campagnes publicitaires. Grâce à de la guerilla marketing et à de la dépose ciblée, l’Institut des Ressources Industrielles a su toucher avec précision ses cibles. Sandrine Maza, chargée de marketing et communication à l’IRI nous explique sa dernière campagne d’affichage pour promouvoir ses futurs journées portes ouvertes.

L’Institut des Ressources Industrielles, un centre de formation orienté vers une approche terrain.  

Depuis 60 ans, l’Institut des Ressources Industrielles propose des formations à destination des salariés, des demandeurs d’emploi et des alternants dans le secteur industriel. 

Créé par les industries de la région, l’IRI compte 1 300 apprentis et 4 400 salariés en formation continue à l’année.

Avec ses 30 000 m2 de locaux, l’institut propose une offre de formation dans 11 domaines d’expertises différents. 

La force de l’IRI est leur connaissance des entreprises et de leurs besoins. Tous les formateurs sont issus du secteur industriel et sont en capacité de délivrer des messages en phase avec le terrain.

Le regard de Sandrine Maza, chargée de marketing et communication à l’IRI

Chargée de marketing et communication à l’Institut des Ressources Industrielles, Sandrine Maza promeut l’offre de formation depuis plus de 13 ans. 

Client de longue date du Groupe Com’Unique, l’IRI est actuellement en train de faire une campagne de guérilla marketing pour promouvoir ses journées portes ouvertes à Lyon. 

Votre métier de chargée de marketing et communication 

Pouvez-vous nous décrire votre parcours professionnel ?

J’ai un parcours assez atypique. J’ai commencé par une licence d’art du spectacle mention photographie cinéma, mais je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas beaucoup de débouchés dans ce secteur. 

J’ai donc décidé d’intégrer une école de commerce avec spécialisation communication et marketing puis je me suis lancée dans l’entreprenariat en créant mon propre bar à café événementiel. Ce lieu proposait une partie alimentaire avec un bar à café, et une partie événementielle avec des expositions ou des spectacles. 

Malheureusement nous avons fait le seul mauvais choix qu’on ne rectifie pas en route, la localisation. Ce lieu sera resté ouvert deux ans. Mais l’expérience a été très formatrice, et cela a changé ma façon de voir le travail et de m’investir. Vous ne m’entendrez jamais dire que je ne ferai pas cette mission parce qu’elle n’est pas inscrite sur ma fiche de poste. Quand on fait un travail, on doit le faire dans son intégralité. 

À l’issue de ça, j’ai intégré une école d’informatique en tant que chargée de communication. Je m’occupais de la promotion de l’école ainsi que du recrutement des alternants.

Puis quand mon dernier CDD s’est terminé, j’ai vu cette offre d’assistante formation à l’IRI. Ce n’était pas vraiment de la communication, mais je voulais acquérir de l’expérience rapidement alors j’y suis allée. Puis finalement le hasard fait bien les choses puisque j’y suis toujours. J’ai pu évoluer sur les missions de bases en communication et événementiel et je suis actuellement très heureuse dans mon travail. 

Quelles sont vos missions de chargée de communication et marketing ?

Nous sommes une petite équipe de deux personnes plus une alternante donc nous sommes amenés à toucher à plein de choses différentes. 

J’ai une spécialisation dans les logiciels de PAO, mais je fais aussi de la gestion de projet, des lancements de produits, de l’organisation d’événements comme des journées portes et des salons, de la stratégie, du marketing digital et de la création de contenu à destination des réseaux sociaux. C’est très varié donc il n’y a pas de lassitude dans le travail. 

Même si les projets sont récurrents d’année en année, nous ne les refaisons jamais de la même manière. Puis le milieu de la formation évolue souvent, donc il faut sans cesse se mettre à niveau.

Qu’est ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

La polyvalence des missions, mais aussi l’intérêt personnel du travail qui est plutôt valorisant. 

Je ne suis pas une vraie marketeuse dans le sens où je ne pourrai pas vendre n’importe quoi. J’ai besoin qu’il y ait du sens derrière, et nous, on vend de l’humain. 

Quand on rencontre des personnes aux parcours atypiques et qu’elles arrivent à retrouver un emploi et une situation plus pérenne, elles sont heureuses et c’est ça que j’aime voir.

La communication autour de vos

formations

Les jeunes ont été impactés par la crise sanitaire, comment va votre activité en ce moment ?

 C’est compliqué. 75% de nos recrutements se font sur le premier trimestre, soit les trois premiers mois de l’année. Donc pour l’année 2020, nous avions pu traiter une bonne partie des recrutements. Mais cette année, c’est plus difficile. Le volume de candidat est toujours aussi important, mais celui-ci convertit moins bien. Les salons virtuels apportent quand même moins d’inscription. Personne ne se rend compte de la taille de notre centre en visioconférence.

 

Quels supports privilégiez-vous dans vos plans médias ?

 Tout dépend de notre cible. 

Pour les alternants, nous digitalisons beaucoup les événements. Encore plus en ce moment avec la crise sanitaire. 

Pour le salarié, qui cherche ses formations lui-même, nous allons beaucoup communiquer par emailing. Nous allons notamment lui parler de la partie financement et de l’approche CPF qui peut l’aider. Nous allons aussi communiquer sur les réseaux sociaux pour expliquer le contenu des formations et les métiers qui en découlent.

Pour les responsables des ressources humaines, nous allons plutôt montrer les plans de formations. C’est plus une approche terrain. On utilise aussi des leviers comme les réseaux sociaux et le digital. 

Pour les demandeurs d’emplois, il s’agit d’actions de proximité. Des rendez-vous récurrents pour les briefer sur les métiers de l’industrie. Il y a beaucoup d’événementiel sur cette partie.

 

 

 

Promouvoir des journées portes ouvertes grâce à la communication de proximité

L’Institut des Ressources Industrielles promeut actuellement ses futures journées portes ouvertes grâce au réseau Promopiéton et à l’affichage board.

Pourquoi choisir un support print à l’ère du digital ?

Je pense que ce qui fonctionne, c’est la pluralité des médias.

Nous communiquons beaucoup avec le digital, c’est bien, mais il ne faut pas s’arrêter là. Il ne suffit pas de se cantonner à Google Ads ou à Facebook Ads pour avoir des résultats. C’est un levier parmi les autres. 

Les campagnes que nous faisons avec Com’Unique sont complémentaires avec nos actions du quotidien et nous permettent de toucher un public plus large. 

Par exemple, pour la promotion de nos journées portes ouvertes, nous avons combiné les deux. En plus de nos actions digitales habituelles, nous avons utilisé le réseau Promopiéton qui offre une visibilité sur tout le centre-ville et les dépôts ciblés qui permettent de toucher un secteur plus localisé.

En quoi consiste votre campagne publicitaire actuelle ?

Nous organisons une journée portes ouvertes en physique fin mai, juste après les validations des affectations de Parcoursup. Pour promouvoir cet événement, nous avons lancé une campagne de guerilla marketing sur les lieux de vie des jeunes. 

Fabrice nous a rapidement fait ses préconisations en nous proposant des lieux stratégiques comme les quais, les abords du Parc de la Tête d’Or, et d’autres endroits passants. 

Il est très professionnel et son expertise nous permet toujours de bien cibler les lieux en fonction des cibles, de leurs usages et de la périodicité. 

Nous avons aussi fait une campagne de dépôt ciblé dans tous les établissements scolaires où nous savons qu’il y a des candidats potentiels.

Comment avez-vous connu le Groupe Com’Unique ?

Cela fait déjà quelques années que nous travaillons ensemble. Nous avons construit une vraie relation de confiance avec Fabrice Poncept, le commercial qui nous suit. 

Ce que j’apprécie chez Com’Unique, c’est la possibilité de cibler avec précision les endroits que nous privilégions. 

En plus, ils sont très flexibles et extrêmement réactifs. C’est un plaisir de travailler avec eux.

Quels retours sur investissement ?

C’est compliqué de mesurer cela. Nous achetons surtout de la visibilité.  

Pendant les journées portes ouvertes, on essaye de demander comment les candidats nous ont connus, mais ils répondent souvent la dernière action de communication qu’ils ont vue ou celle qui les a le plus marquée. 

Ça ne vient pas d’une seule action indépendante, mais une addition d’actions.

 En début d’année, j’essaye d’aller voir nos apprentis pour avoir des retours sur les campagnes qu’ils ont vues. Et l’année dernière, nos deux campagnes de guérillas marketing ont été vues par 25% d’entre eux. C’est très bien car une bonne partie de nos apprentis n’est pas lyonnaise et donc n’aurait pas pu les voir dans tous les cas.

 

“Nous sommes très contents de la relation que nous entretenons avec notre commercial qui a toujours été très réactif et de bon conseil. Longue vie à Fabrice et au Groupe Com’unique !”

Ce dispositif de dépose publicitaire vous intéresse ?